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SEO Camp Day Bordeaux 2 – Partie 1

18 novembre 2014 - SEO -

 

Le SEO Camp / A Bordeaux

Le SEO Camp est né en 2008 et regroupe maintenant plus de 100 adhérents et encore plus de sympathisants dont l’activité principale est le référencement. C’est une association ( Loi de 1901 ) animée par des bénévoles. Le SEO Camp organise chaque année des dizaines d’événements .

C’est alors la première fois ( Samedi 25 Octobre 2014 ) que le SEO Camp s’est rassemblé à Bordeaux pour une journée de conférence et de partage autour du SEO. Amateurs passionnés, salariés d’agences spécialisées, webmasters, référenceurs, rédacteurs, consultants… Nous étions tous réunis .

 

Lien vers le site du SEO Camp

Je vais pouvoir à travers cet article résumer les thèmes abordés et présenter rapidement les différents intervenants que nous avons eu la chance de voir et écouter.

  • Nous avons alors débuté cette belle journée par l’intervention de Mr Jean François Poussard @Prodomaines sur le thème suivant : Référencement des noms de domaine face aux nouvelles extensions. Un petit mot sur Jean François Poussard : dans le milieu depuis 2004 ;Il crée notamment Prodomaines en 2010 qui est un registrar(bureau d’enregistrement officiellement accrédité) ICANN (Société pour l’attribution des noms de domaine et des numéros sur Internet) spécialisé dans les stratégies noms de domaine.

C’est donc avec un thème non négligeable et au coeur de l’actualité du SEO que l’on débute cette journée. Nous parlons alors noms de domaines mais surtout nouvelles extensions. Qu’entend-on par nouvelles extensions ? Il faut d’abord parler des extensions existantes. Les extensions existantes sont par exemple: .com (41% des noms de domaines enregistrés dans le monde) / .net / .org … Or, un programme de nouvelles extentions disponibles a vu le jour en 2013 avec plus de 1000 extensions disponibles d’ici à 2017. Sachant qu’il y a des conditions notables pour candidater à une extension ( 185000$ de frais d’inscriptio,questionnaire de 350 pages,choisir un opérateur de registre…). Les nouvelles extensions donnent place  à des .bio .club et aussi des extensions géographiques comme .bzh chez nos bretons ou .paris. Il y actuellement bientôt 3 millions de noms de domaines déposés dans 430 nouvelles extensions . Pour finir nous avons logiquement abordé le thème du cybersquatting ( pratique qui consiste à s’accaparer en déposant un nom de domaine en reprenant une marque,…) et les solutions face à ses pratiques.

  • Après une pause café (chut!) nous reprenons avec @Thomas Gibertie  : Evolution mértier: De l’acquisition d’audience à l’analyse de données. Thomas Gibertie est un ancien étudiant de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, spécialisation sémantique, actuellement chef de projet en acquisition et analyse d’audience web.

L’acquisition d’audience doit être directement corrélée à un accroissement, direct ou indirect, du chiffre d’affaire. Cet objectif ne pouvant être atteint sans une analyse de plus en plus poussée de l’audience. C’est pour cela que l’on parle d’évolution métier. Grâce à son intervention nous avons pu voir que la retro-ingénierie peut se déployer comme méthode (de travail), processus (d’entreprise) et outil (de pilotage).

  • Pour clôturer cette matinée c’est @Respiland – Thierry Rougier qui prend la relève : SEO des sites e-commerce / Le business-model gagnant . Après 15 ans dans la marine marchande et 15 ans de journalisme et reportage photo Thierry Rougier (AgenceD-klic) compte désormais plus de 15 ans d’expérience dans le SEO.

Thierry Rougier nous donne les clés pour un site e-commerce avec un business-model gagnant. On aborde alors notamment le thème du GrowthHacking et Agile-hacker : la nouvelle façon de voir la croissance des entreprises web dans le but de maximiser leur croissance. Le Growth Hacking est utilisé, notamment, par les entreprises de e-services suivantes Airbnb, Facebook (…) .

Daniel Jarjoura : « il ne s’agit ni d’un nouveau métier, ni d’une théorie très cadrée mais plutôt d’un esprit qui se rapproche beaucoup de celui d’un chercheur scientifique. Comme le chercheur, le growth hacker connait la question (en l’occurrence comment faire croitre sa base d’utilisateurs/clients) mais pas la réponse. Afin de trouver la réponse, il va faire pleins d’expérimentations et en mesurer méthodiquement les résultats. Si une expérimentation est un succès, il en fera une bonne recette. ».

La suite de cette journée mérite tout au moins un article également … Alors la suite dans mon prochain article où nous retrouverons @Stéphanie Laporte, @FrancoisGoube,@MauriceLargeron et @LoicHelias.

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